Le dernier album de Taylor Swift, “The Tortured Poets Department”, fait des vagues avec son titre phare, “But Daddy I Love Him”, dans lequel elle répond aux critiques, y compris à certains de ses propres fans, qui l’ont jugée pour une relation passée.

Dans cet album profondément personnel, Swift aborde la question de l’examen minutieux qu’implique le fait d’être une icône mondiale de la pop et une auteure-compositrice de talent. Sorti 18 mois seulement après son dernier album, “Midnights”, ce nouvel opus était censé revenir sur sa rupture avec l’acteur Joe Alwyn.
Cependant, au lieu de se concentrer uniquement sur cette rupture, Swift explore une relation brève mais intense avec quelqu’un d’autre, qui serait Matty Healy du groupe The 1975. Ce choix en a surpris plus d’un, compte tenu de l’attention portée à sa romance passée avec Alwyn.

“But Daddy I Love Him” est un hymne puissant dans lequel Swift défie ceux qui ont des opinions sur sa vie amoureuse, y compris ses fans. La chanson rappelle son premier succès, “Love Story”, mais adopte une position plus mature, s’attaquant non seulement à la désapprobation de son père, mais aussi au jugement du public.
L’album reflète le parcours de Swift, qui affirme son autonomie et embrasse ses désirs, même s’ils vont à l’encontre des attentes. Avec des thèmes plus ouvertement sexuels qu’auparavant, Swift s’exprime sans complexe, naviguant à sa manière entre amour, chagrin d’amour et découverte de soi.
À travers sa musique, Swift envoie un message clair : elle contrôle son récit et ses fans l’accompagnent.