Diddy réunit une nouvelle équipe d'avocats pour une troisième tentative de libération sous caution

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Diddy réunit une nouvelle équipe d’avocats pour une troisième tentative de libération sous caution

Diddy tente une nouvelle fois d’obtenir sa libération sous caution, deux semaines après son arrestation, en s’entourant cette fois d’une équipe juridique de renom pour maximiser ses chances.

D’après de nouveaux documents judiciaires, l’avocat du célèbre rappeur a fait appel de la dernière décision lui refusant la liberté sous caution. Ce sera la troisième tentative officielle pour le faire sortir de prison en attendant son procès.

Selon des sources proches de Diddy, il a ajouté deux nouveaux avocats à son équipe : Anthony Ricco et Alexandra Shapiro, deux noms bien respectés dans le domaine juridique. Anthony est considéré comme l’un des meilleurs avocats spécialisés en procès aux États-Unis, tandis qu’Alexandra est reconnue pour son expertise en appels. Pour ceux qui se demandent, Alexandra n’est pas liée à Robert Shapiro, l’avocat célèbre.

TMZ avait révélé l’affaire : Diddy a été arrêté par des agents fédéraux le 16 septembre à l’hôtel Park Hyatt de New York, situé à Midtown Manhattan. Il a comparu en justice le lendemain, où il a été inculpé de trafic sexuel, de complot de racket et de transport en vue de se livrer à la prostitution.

Son arrestation est intervenue six mois après que des agents fédéraux ont perquisitionné ses résidences à Los Angeles et à Miami, dans le cadre de cette enquête.

Le père de sept enfants a nié les accusations portées contre lui, tant dans le cadre de cette affaire pénale que dans plusieurs poursuites civiles en cours.

L’avocat de Diddy, Marc Agnifilo, a déclaré que son client est un “homme innocent qui n’a rien à cacher”. Malgré cette défense vigoureuse, Diddy s’est vu refuser la libération sous caution, bien que son avocat ait proposé un plan de caution de 50 millions de dollars, avec des conditions strictes, comme l’interdiction de recevoir des femmes chez lui à Miami, sauf les membres de sa famille.

Le juge Andrew Carter, après avoir entendu les arguments de l’accusation et de la défense, a néanmoins rejeté la demande de libération, estimant que “le gouvernement a prouvé que l’accusé représente un danger”.