À l’âge de trente ans, le jeune retraité international français a accordé un entretien à @lequipe où il a abordé un sujet tabou sur le traitement des commotions cérébrales dans le footbal.l.
Raphaël Varane évoque la difficulté d’admettre la fatigue ou les migraines, craignant d’être perçu comme “faible” et insiste sur l’importance d’une prise en charge adéquate, appelant à une réduction des têtes à l’entraînement et à une sensibilisation dès le jeune âge pour éviter les risques de syndrome du second impact et de prévenir les traumatismes à long terme.1.
« Quand on regarde trois des pires matches de ma carrière, il y en a au moins deux avant lesquels j’avais eu une commotion quelques jours plus tôt : 𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑙’𝐴𝑙𝑙𝑒𝑚𝑎𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑎𝑟𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐶𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑑𝑢 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 2014, et avec le Real Madrid 𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑀𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒𝑠𝑡𝑒𝑟 𝐶𝑖𝑡𝑦 𝑒𝑛 ℎ𝑢𝑖𝑡𝑖𝑒̀𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝐿𝑖𝑔𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑎𝑚𝑝𝑖𝑜𝑛𝑠 2020. »