Sarah Koffi : « J’ai envoûté le mari de ma patronne parce qu’il m’a… », la servante déclenche une nouvelle polémique
La servante ivoirienne, Sarah Koffi, a provoqué une nouvelle polémique sur les réseaux sociaux avec des révélations surprenantes concernant l’une de ses anciennes patronnes.
Sarah Koffi a confessé avoir envoûté le mari de cette dernière après qu’il l’a violée et mise enceinte. Elle affirme que le mari de sa patronne a refusé de reconnaître la grossesse, la poussant à utiliser des moyens occultes pour qu’il prenne soin de leur enfant.
« Madame Gnangbé Pauline, oui, j’ai gbassé ton mari, pas pour qu’il me marie, mais parce qu’il m’a droguée et violée, ce qui m’a rendue enceinte.
Lorsque je lui ai annoncé ma grossesse, il m’a ignorée et méprisée. C’est pourquoi je l’ai gbassé, pour qu’il s’occupe de la grossesse, car c’est lui qui m’a déflorée.
Quand tu m’appelles, tu ne me laisses jamais parler. Tu m’as bloquée sur les réseaux sociaux et tu n’écoutes pas mes messages vocaux. Quand j’ai voulu partir, tu as refusé de me payer.
Tu m’as jetée dehors en pleine nuit parce que je réclamais mon argent. J’étais sans abri, mais ton mari quittait votre grande maison pour venir me chercher.
Voici notre enfant, elle aura bientôt 5 ans. Je voulais juste te dire que ton mari couche avec toutes les servantes qui passent dans votre maison. On ne fait pas cela à toutes les servantes, donc on est ensemble jusqu’à la fin. Arrête de m’appeler maintenant », a déclaré Sarah Koffi.
Ces révélations ont suscité des réactions vives et des avertissements de la part des internautes :
« Tu fais honte. Pourquoi ce silence pendant tout ce temps et c’est aujourd’hui que tu en parles ? Fais très attention, sinon cela finira mal pour toi. S’il t’avait vraiment violée, pourquoi n’as-tu pas porté plainte ? Ceux qui te soutiennent aujourd’hui seront les premiers à te laisser tomber quand cela deviendra difficile. Qui vivra verra. »
« Elle va goûter la MACA (prison), elle n’est pas intelligente cette fille. Tu admets avoir utilisé la magie. Tu te diriges droit vers la prison. »